Les opérations de contrôle des insectes piqueurs ont débuté dans certains secteurs situés en périphérie des quartiers résidentiels du territoire de Trois-Rivières.
Comme par les années passées, le traitement se fera par voie terrestre et aérienne. Le personnel et les véhicules de GDG Environnement, l’entreprise mandatée par la Ville pour faire le contrôle des insectes piqueurs, seront clairement identifiés lors des opérations sur le terrain. Toutes les informations sur les mesures prises par l’entreprise sont disponibles au gdg.ca.
Aidez-nous à limiter la prolifération des insectes
L’eau stagnante laissée dans des contenants à l’extérieur de la maison cause la production de plusieurs centaines de moustiques tous les sept ou huit jours. Par de petits gestes, le public peut contribuer à limiter la prolifération de ces insectes :
- Tournez à l’envers les embarcations nautiques, les pataugeuses, les brouettes et les contenants de jardinage;
- Percez des trous au fond des contenants qui sont à l’extérieur;
- Remplacez au moins chaque semaine l’eau des baignoires d’oiseaux et des récipients extérieurs servant à abreuver les animaux domestiques;
- Traitez l’eau de la piscine même si celle-ci n’est pas utilisée;
- Nettoyez les gouttières régulièrement.
À propos du BTi
Utilisé partout dans le monde depuis 1982, le traitement au Bacillus thuringiensis israelensis (BTi) promet de réduire de 80 % la nuisance attribuée à la présence de moustiques et de mouches noires. Il s’agit d’une solution parmi les plus efficaces pour intervenir sur de grandes superficies, comme le territoire de Trois-Rivières.
Le contrôle des insectes piqueurs est un service souhaité par la population trifluvienne. En effet, un sondage réalisé en 2019 par la firme Cible Recherche confirmait que 70 % étaient d’accord avec le service. L’épandage du BTi est d’ailleurs réalisé depuis 15 ans à Trois-Rivières, et ce en concordance avec les lois et règlements. Rappelons qu’il s’agit d’un produit homologué par l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire de Santé Canada. Au Québec, son utilisation est encadrée par la Loi sur la qualité de l’environnement.