Jérôme 50 poursuit sa nostalgie punk-rock avec l’extrait « La plus belle fille du moshpit »

Crédit photo : Dave Jolicoeur

Un an après la parution de son 2e album Antigéographiquement, Jérôme 50 rapplique déjà avec un nouvel extrait hors-album, détaillant son admiration pour une punk qui opère en marge des conventions mais qui s’alloue des moments de loisirs dans les foules agitées des concerts auxquels elle assiste. Alliant punk-rock, ska et influences gitanes, «La plus belle fille du moshpit» est offert dès maintenant sur les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Jérôme 50, c’est un écriveur de chanson à succès. Suite à «Tokébakicitte» qui a notamment été nommée comme chanson de l’année à l’ADISQ en 2021 et connu un parcours exceptionnel sur les radios commerciales, les extraits «Les ramasseux d’canettes» et «Lit double» ont aussi trôné sur les palmarès pendant plusieurs semaines en plus de ravir les fans. Sur « La plus belle fille du moshpit », Jérôme 50 puise large dans références musicales adolescentes du tournant du millénaire, s’influençant de NoFX et Gogol Bordello autant que de Québec Redneck Bluegrass Project, Les Colocs et Les Cowboys fringants – bref, y a de quoi pour tout le monde, là-dedans! S’amourachant d’une punk au « look d’enfer » qu’il a « vue crowdsurfer dans un show d’Québec Redneck » et qui « te donne un coup de coude / juste avant le coup de foudre », il en retrace l’histoire, de ses frasques du secondaire à un road trip en Colombie-Britannique en passant par les concerts qu’elle fréquente, le laissant espérer qu’un jour elle « vien[ne] trasher à [son] show ». Le tout bien évidemment mené par un refrain fédérateur, augmenté de cuivres et de cordes pour que ça lève encore plus. 

Sur «La plus belle fille du moshpit», Jérôme signe paroles et musique en plus d’assurer voix et guitare, accompagné de Martin Plante aux basse et voix, de Simon Lachance aux batterie et voix, de Sarah-Judith Hinse-Paré aux violon et voix, d’Antoine Lemieux-Rinfret aux synthétiseur et voix, de Simon Kearney aux guitare et voix, ainsi que de Mario Allard au saxophone baryton, de Matthieu Van Vliet au trombone et de David Carbonneau à la trompette. Pas pire gang, imaginez ça dans un moshpit! La réalisation est de Simon Kearney; les arrangements des cuivres, de Gabriel Desjardins; la prise de son, de Ghyslain Luc Lavigne (avec assistance de Gwendoline Dumontet, au Treatment Room); le mixage, de Pierre Girard; et le matriçage, de Marc Thériault

JÉRÔME 50 EN SPECTACLE

Saint-Nazaire | 31 août
Terrebonne | 28 septembre
Saint-Hyacinthe | 11 octobre
Weedon | 12 octobre
Saint-Eustache | 18 octobre
Montréal | 19 octobre
Shawinigan | 25 octobre

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