Après avoir vécu un nouveau congrès rempli de discussions de fond passionnantes et d’échanges chaleureux, Yves Perron se réjouit de l’état des troupes souverainistes. « Nous avons reçu de nombreux invités de marque et entendu des discours positifs et remplis d’espoir quant au statut politique du Québec. Nous serons prêts pour la prochaine fenêtre historique afin de donner au peuple du Québec l’ensemble de ses leviers pour assurer son développement et sa prospérité », explique le député de Berthier-Maskinongé.
Ayant assisté à l’officialisation de la réunification des troupes bloquistes et de la refondation du parti à titre de président lors du précédent congrès de 2019, Yves Perron est bien placé pour parler de la force de sa formation politique après 4 années sous la gouverne de Yves-François Blanchet.
« Nous avons mis en place, avec lui, une dynamique positive et une force de frappe hors du commun. Nous avons 32 députés efficaces représentant sans aucun compromis les intérêts fondamentaux du Québec. Le Bloc Québécois est reconnu au Québec et respecté dans tout le Canada comme une formation politique présentant des positions cohérentes et constructives, mais toujours axé vers son objectif ultime de donner au Québec les moyens de ses ambitions, » précise le porte-parole en agriculture, agroalimentaire et gestion de l’offre.
Le député de Berthier-Maskinongé est aussi fier des débats riches en arguments sur des enjeux fondamentaux : « Je suis particulièrement heureux de voir que nos délégués sont favorables au vote à 16 ans, une façon intelligente selon moi d’augmenter les connaissances politiques de base des votants et la participation citoyenne. Notre président jeune de la Mauricie et représentant jeune dans Berthier-Maskinongé, Victor Legault a brillamment défendu cette proposition. Je suis aussi très satisfait d’avoir inscrit à notre programme le partenariat essentiel entre les producteurs agricoles et l’état, en ce qui concerne la protection de notre environnement. Nous demandons beaucoup au monde agricole pour assurer des gains collectifs pour l’environnement. Nous devons assumer collectivement les coûts de ces efforts », conclut Yves Perron.