Accompagnant la ministre fédérale de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire Marie-Claude Bibeau qui était en rencontre avec ses homologues du G7, le député de Berthier-Maskinongé est de retour pour faire le point sur une mission riche en rencontres pour son dossier parlementaire.
Lors de son passage au Japon, Yves Perron a pu, entre autres, rencontrer la délégation générale du Québec à Tokyo ainsi qu’un grand nombre d’entreprises japonaises importatrices de produits québécois et canadiens. Cette visite a été une occasion inestimable de créer des liens et des contacts avec des acteurs clés du monde agroalimentaire et d’ainsi mieux comprendre les dynamiques et problématiques de l’industrie et de sa chaîne d’approvisionnement.
À titre d’exemple, les représentants de Godak Marketing, entreprise japonaise d’importation de fruits de mer de la Côte-Nord, ont pu expliquer au député la grande qualité des produits québécois ainsi que les enjeux auxquels l’entreprise fait face. L’équipe japonaise de Porcs Canada et d’Olymel ont aussi pu faire état des défis actuels de leur industrie. Les Japonais appréciant particulièrement la qualité du porc du Québec et ses coupes d’exception, il est primordial de bien saisir les particularités de ce marché afin d’assurer la continuité dans nos échanges commerciaux.
Le porte-parole en agriculture, agroalimentaire et gestion de l’offre a également accompagné la ministre à l’exposition agroalimentaire de Singapour où il a établi différents contacts avec les représentants québécois et canadiens sur place. Les riches échanges, entre autres avec les gens de Groupe export, auront permis de bien saisir les enjeux de nos exportateurs.
« Cette mission s’est révélée une expérience enrichissante et une occasion de créer de nouveaux contacts afin d’assurer une vision pertinente et globale me permettant de mieux travailler à assurer le succès de nos producteurs à l’étranger. Sur un autre angle, la visite de sites d’exception comme celui de Yokohama ou l’agriculture côtoie la ville et sa dense population, permet de réfléchir sur l’occupation du territoire et sur comment nous pouvons préserver nos espaces agricoles tout en assurant notre développement », explique le député de Berthier-Maskinongé.